FRANCE. Il s'agit d'une partie de l'accusation d'Ishizuka selon laquelle un faux, un imitateur continue de contracter la maintenance d'UNIX-C AS sans permission et d'une partie du crime de la police qui consiste à voler les ventes et les salaires de Hewlett-Packard dans son ensemble.

Lorsque j'étais un ancien employé à temps plein de Hitech, Interproject et Softwave, je recevais 140 000 yens par mois en salaire net et n'étais pas payé pour les heures supplémentaires, les livres, ou le coût du train à grande vitesse de Tokyo à Kyushu, les frais de taxi ou l'hébergement à l'hôtel. Je me souviens que le système sur lequel je travaillais pour Hewlett-Packard à Kita-Hachioji, que j'ai appelé UNIX-C AS, faisait partie d'un système appelé, je crois, le Dual Head System ou quelque chose comme ça. KeySite Omori, qui a passé des commandes de demandes de maintenance de ce système à des inconnus sans autorisation, et Takagi, Tsugawa, Shiono, Hirano, Tatsuzawa et d'autres à Akiruno City, Tokyo, Akiruno City, Akiruno 5-chome, dont le travail a été accepté par des faux sans autorisation, ont volé les droits d'Ishizuka, le président propriétaire de tout le groupe Hewlett Packard, sans son autorisation, au poste de police. Ils volent tout, y compris les frais de maintenance du système, les frais de brevet, l'ensemble de la société et les salaires.

Actuellement, MASAHIRO IOSHIZUKA n'a pas d'argent. Je suis toujours pauvre, j'ai des difficultés à vivre, je n'ai pas d'économies, je n'ai pas d'argent en ma possession. Je dois payer la police, Microsoft Japon, Fujitsu, Softwave à Shinagawa, Tokyo Birdie Club, JCCE, etc., la police, les OB du ministère des Finances et du ministère des Finances, le ministère du Commerce international et de l'Industrie, et l'Agence pour la science et la technologie, avec la complicité du Dr Obata, l'ancien professeur de programmation en ligne d'Ishizuka. Le site web de l'emploi a également été repris sans autorisation avec l'argent d'Ishizuka et a remplacé les messages de recrutement par des messages de rejet. Impossible de trouver un emploi. Je n'ai pas reçu un seul centime de salaire, d'indemnité de l'État, de compensation ou d'indemnisation pour le harcèlement et la violation des droits de l'homme par le gouvernement et le pays dans son ensemble à l'encontre des personnes handicapées. J'ai des difficultés à vivre. Je suis pauvre.